En réalité, les gens qui ne boivent pas peuvent être amener à avoir une vie timide. Mais pas seulement… (Attention, l’abus d’alcool est dangereux)
On enseigne tous les jours que boire c’est mauvais: boire c’est si boire c’est ça ; des enseignements qui ont tendance à intimider ceux qui aiment boire. Tout porte à croire que quand on ne boit pas, tout va bien, ce qui n’est pas forcement vrai, puisque ceux qui ne boivent pas ont un drôle de tête et un comportement pratiquement moche. Admettons que boire est très mal, ne pas boire est-il mieux ?
Certainement pas, mais on protège cette réalité à tout prix, pourquoi ? Il vaut mieux que tout le monde sache la vérité sur le fait de boire ou de ne pas boire pour que chacun fasse son choix selon son état de santé et ses besoins. En réalité, ne pas boire peut avoir un impact négatif sur beaucoup de gens, ce qui les amène à avoir une vie timide.
Les gens qui ne boivent pas : c’est avoir la peur d’exhiber sa partie génitale devant celui avec qui on ne couche pas
Comment exprimer sa liberté de vivre et d’agir si on se cache derrière de petites raisons insignifiantes pour ne pas faire ce qu’on pense tout bas devant tout le monde. Quand on se paie son verre, cela aide à être plus zen et se laisser aller à ses fantasmes les plus fous. On se sent plus libre quand on touche même à son ivresse ; un moment de folie qui vous permet de montrer facilement votre partie génitale à une personne avec qui vous désirez coucher en vain.
Ou encore même, quand on a envie de se mettre à l’aise, on le sort devant tout le monde, c’est excitant. Cependant, quand l’état d’ivresse passe et qu’on se découvre en action sur les photos, ça fait chier.
Le non-buveur se prive de certains trucs hyper bons
Il est possible de penser à mettre sur la touche les bières (ce qui pourrait être injuste), puisque cela serait préjudiciable de court-circuiter la liberté des autres, moins logiques donc. En toute évidence, une personne normale ne saurait pas se passer du vin, de cognac, de scotch, de chartreuse, d’armagnac, de rhum vieux… Constatez-vous déjà la réalité du bon truc qu’un non-buveur peut rater ?
Devenir bêtement violent : n’est pas le truc d’un non-buveur
Comment compte-t-il se vider de leur colère, de leur stress, de leur excès… s’ils ne boivent pas ? Certains diront sans doute le sport, ce qui n’est pas tout à fait réaliste. Inutile alors de plonger sa main dans cet engrenage si on suivait la pensée de Churchill qui estime que le secret de la longévité ne réside pas dans le sport. Ceci dit, vous pouvez être hyper classe et mourir tôt (90 piges)…
N’assouvir jamais son désir sexuel avec un inconnu il y a environ 2h
S’envoyer en l’air avec un inconnu qu’on vient de rencontrer il y a quelques minutes dans un couloir, dans un parking souterrain, c’est super classe. Un plaisir qu’aucun non-buveur ne s’offre, une chose qui va certainement manquer dans leur souvenir de jeunesse. De quoi ont-ils peur, la MST ?
Esquiver ses problèmes lâchement n’est pas dans l’habitude d’un non-buveur
Un buveur qui vient de se faire larguer sait exactement quelle conduite tenir pour mettre à l’oubli cette mauvaise situation. Celui-ci va s’acheter une bonne bouteille de whisky (rhum, coca…) et de citrons verts puis se filer chez son meilleur ami pour qu’ensemble, ils s’en occupent.
Mais celui qui ne boit pas, quelle serait-elle son attitude dans de pareilles circonstances ? Oui, on nous dira qu’il fait face à son problème, l’analyse, identifie ses faiblesses, trouve des solutions et en sort grandi. C’est vrai et pathétique, mais très peu de ces non-buveurs réussissent cet exercice, ce qui ne convainc pas véritablement un buveur.
Dis ‘’je t’aime’’ à une personne qu’on aime n’a jamais été la qualité d’un non-buveur
Que coûterait-il de dire à des personnes proches qu’on aime assez ‘’je t’aime’’ ? Cela ne pose normalement aucun problème, puisqu’un buveur le fait facilement. Cependant, une personne qui ne boit pas ne se prête pas à cet exercice. Les moments sacrés pour avouer à proche qu’on l’aime :
- à l’approche de sa mort (agonie) en occurrence mourant sur son lit ;
- juste après la mort d’un proche ;
- après épuisement de 3 pintes
Dis ‘‘je t’aime’’ à une personne qu’on n’aime pas assez pose un gros souci chez les non-buveurs
Prononcer ce mot magique « je t’aime » à l’endroit d’un proche qu’on apprécie à peine est souvent un acte difficile à poser pour les non-buveurs, alors qu’ils peuvent le faire facilement. Oui, un buveur ne perd pas de temps pour l’avouer. Vous pouvez le faire facilement après 6 pintes, pour vous mettre en confiance, car ne pas le faire, c’est passer à côté de l’essentiel.
L’ambiance de bois en collectivité peut échapper à celui qui ne boit pas
Seul un buveur peut savoir identifier une gueule de bois collective qui est vraisemblablement bonne, puisqu’on s’éclate entre collègues (passer de bonnes soirées après le travail). Des moments de craques nerveux, de fous rires inondés de fatigue, tout ça manquent à un non-buveur.
Culture des bars : le non-buveur l’évite
La culture-bar est le principe selon lequel les buveurs se permettent de vivre l’ambiance des bars et d’en découvrir ses secrets et styles les plus fun (à y picoler). Leur vie tourne autour de ça, un plaisir qu’un buveur n’a jamais su en profiter.
Le non-buveur s’attache à des trucs trop fun
C’est très timide (froid) d’être connue à cause d’une courroie de distribution d’un tas de boue ou d’une coloscopie, très ennuyeuse. Le buveur est en vedette presque tous les mois, puisqu’ils ne manquent pas leurs 3 mètres de Teq’Paf’ chaque week-end…